Un an déjà : Amandine Chaignot et Maxime Laurenson

LE CHEF

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Un an déjà : Amandine Chaignot et Maxime Laurenson
©Nicolas Buisson / © Beatrice Preve

Amandine Chaignot


Pouliche à Paris (75)


Riche d’un parcours professionnel exemplaire – École Ferrandi, Plaza Athénée auprès de Jean-François Piège, Ritz de Londres, brigades d’Éric Frechon et de Yannick Alléno, seconde de Christopher Hache… – Amandine Chaignot a ouvert son 1er établissement, Pouliche, en octobre 2019 à Paris 10e. Un succès immédiat traduit par une grande fidélité des habitués.


Un an après… êtes-vous un cuisinier (e) différent (e) ?


Il a forcément fallu poser un peu les choses après l’ébullition du démarrage, même si je n’ai pas modifié les fondamentaux. Après quatre années passées au Royaume-Uni (comme cheffe du Rosewood Hotel, à Londres, ndlr), j’ai dû me remettre à la page et constituer une nouvelle équipe, sachant qu’aucun membre de mon équipe londonienne ne m’a suivie à Paris. Depuis, la plupart des salariés embauchés pour l’ouverture constituent toujours l’ossature de l’équipe, avec quelques nouvelles incorporations consolidant notre façon de travailler. Je me suis aussi reconstitué un réseau de fournisseurs, dont les produits frais se marient bien avec ma conception d’une cuisine simple et accessible.


Un an après… quelles sont vos plus grandes satisfactions ?


La fidélisation ! Dans tous les aspects. Nous sommes parvenus à garder la même équipe depuis l’ouverture, ce qui démontre un bien-être au travail dont je ne peux que me réjouir. Les clients nous sont fidèles également, et ils se sont empressés


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