Christophe Pelé
Le Clarence
à Paris (75)En acceptant de rejoindre le Clarence, Christophe Pelé n’a pas choisi la facilité. Après avoir obtenu deux étoiles au sein de son restaurant, La Bigarrade, celui qui occupe à la fois le rôle de chef exécutif et de directeur général délégué a rejoint avec appétit cet hôtel particulier appartenant au prince Robert de Luxembourg. Ici, le luxe et le sur mesure s’écrivent à chaque étage de l’établissement. Un an après… êtes-vous un cuisinier différent ? Forcément, cette nouvelle expérience élargit le spectre de mon métier ! Au Clarence, il y a beaucoup de perspectives à prendre en compte comme notre relation au Domaine Clarence Dillon et au Château Haut-Brion. C’est tellement enrichissant ! Depuis mon arrivée, je m’enrichis tous les jours et mon rôle est d’impulser une belle dynamique. Un an après… quelles sont vos plus grandes satisfactions ?Je suis déjà très satisfait d’avoir installé ce niveau au bout de douze mois. On est partis de zéro avec l’équipe et le plus difficile a été d’unifier tout le monde. Pour bien travailler, il faut pouvoir compter sur des personnes qui vous comprennent et qui partagent un bon état d’esprit collectif. De plus, la cohésion entre la cuisine et la salle est essentielle pour toucher le client. Au niveau culinaire, j’ai également la sensation qu’on est en train de trouver notre identité. On propose une carte volontairement très courte pour proposer les meilleurs
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