Thierry Marx ♦ Sur Mesure** au Mandarin Oriental à Paris (75)
Le 27 octobre dernier, Thierry Marx a été élu à la présidence de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih). Il succède à Roland Héguy, qui était en place depuis 12 ans et compte dédier ses 4 années de mandat à la meilleure prise en compte des problématiques régionales autour de trois grands chantiers.
Vous venez d’être élu président de l’Umih. Qu’est-ce que cela représente pour vous ? Pourquoi avez-vous décidé de présenter votre candidature ?
Thierry Marx : C’est vrai qu’honnêtement au départ, j’étais loin de l’univers des syndicats professionnels et je ne me voyais pas forcément un jour postuler à la présidence de l’Umih. Mais finalement, depuis la période du Covid, j’ai eu l’occasion de beaucoup travailler avec ce syndicat sur les protocoles sanitaires notamment et je trouvais que ce travail de fond, fait de façon discrète, était très important et même déterminant. On pense souvent que les chefs étoilés prennent les problématiques du secteur de haut ou ne s’y intéressent pas. Mais nos métiers forment une industrie qui pèse 8% du PIB français et emploie des millions de personnes. Il y a des chantiers à mener pour l’avenir de ces professions liées au tourisme et plutôt que regarder ça depuis le banc de touche, j’ai voulu y prendre part.
Quels sont ces chantiers que
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