Plantes sauvages : de farouches herbacées à dompter

Plantes sauvages : de farouches herbacées à dompter
Photos DR sauf ©Pascal Lattes

Stars des assiettes des plus simples aux plus sophistiquées, elles révèlent tous types de saveurs en agissant tour à tour comme exhausteur de goût ou accompagnement. les herbes sauvages font désormais partie intégrante des cuisines pour le plus grand bonheur d’une clientèle avide d’expériences nouvelles.


Au détour d’un sentier forestier, en flanc de colline ou oscillant gracieusement en bordure de rivière : les plantes sauvages comestibles sont multiples et ne demandent qu’à dévoiler toute l’étendue de leurs vertus… et de leurs saveurs. Ceci, à


Caboussas d’oignons, ail des ours et truite fario du moulin de bouté de Guillaume Foucault ©Pascal Lattes

condition de savoir les reconnaître : il n’est pas chose facile de les distinguer des centaines d’autres espèces herbacées évoluant sur nos territoires. Raison pour laquelle nombre de chefs font aujourd’hui appel à des cueilleurs, encyclopédies vivantes partageant savoir et savoir-faire acquis sur le terrain, pour des créations culinaires à forte valeur ajoutée et de mémorables découvertes pour clients avertis.


Un univers spécifique
Paysan-cueilleur depuis près de 15 ans (Les Jardins d’Amélie Blanche – Savoie), Christophe Valaz se souvient de ses premiers échanges avec des chefs – une clientèle qui a commencé à



Il reste 87% de l’article à lire

Pas encore abonné ? Abonnez-vous !

Vous êtes abonné ? Connectez-vous