Au moment où j’écris ces lignes, le comité scientifique nous présente pour l’après-confinement ses quatre hypothèses, qui vont déterminer la politique du gouvernement, pour les mois à venir, en matière de protection sanitaire des Français.
Ce comité scientifique oublie une hypothèse, il me semble que le gouvernement devrait tout de même l’étudier, c’est l’hypothèse de la disparition du Covid 19.
Ce coronavirus, comme tous les coronavirus est un être vivant qui naît, qui vit et qui disparaît.
Il se trouve que par le plus grand des hasards, je côtoie un spécialiste du coronavirus chez les mammifères, sujet qu’il étudie depuis plus de 20 ans et, pour lequel, il fabrique des produits qui guérissent les animaux des différents symptômes, dûs à ce type de virus.
Celui-ci m’a fourni un gel à base de plantes, qui fait barrière aux virus et que j’ai mis tous les matins pendant la période de l’épidémie.
Celui-ci m’a également expliqué, comme le professeur Raoult, que les coronavirus disparaissaient, à l’exemple du SRAS, du H1N1 et des différents virus grippaux, qui chaque année, arrivent sur notre territoire en début d’automne et disparaîssent en fin de printemps.
Si tel était le cas du covid-19, en dehors de l’interrogation sur la panique de nos gouvernants, qui a mené à ces décisions drastiques, aux conséquences encore incalculables, ceux-ci pourraient préparer un scénario en cas de disparition du
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