Des desserts érigés au rang d’œuvres d’art

Précision du geste, esthétisme de l’œuvre, association de saveurs subtiles : nul n’est plus étonné des mois de préparation

nécessaires à la création des bûches de Noël par les plus grands pâtissiers.
Rendez-vous incontournable des restaurants de palaces et autres boutiques depuis plusieurs années, démontrant ou confirmant le savoir-faire et la dextérité des chefs pâtissiers, les bûches mettent en lumière toute la maîtrise technique et esthétique de ces passionnés du

goût. Éclipsant, le temps de quelques jours, les chefs cuisiniers davantage mis sur le devant de la scène à l’année, ces desserts festifs et féeriques sont l’occasion de relever le challenge du beau, du bon et de la représentation d’une institution au travers d’inlassables essais, jusqu’à l’obtention du dessert parfait.
Si l’utilisation du chocolat comme base reste un grand classique, c’est dans la construction de ces bûches que chacun se démarque. Tour à tour traditionnelles dans la forme ou dans le goût, elles se dévoilent à grand renfort de structures en sucre soufflé, de mousses floquées, de crémeux épicés et autres glaçages croustillants, à l’image de la «