Le café est désormais communément traité avec tous les égards qu’il mérite, et les meilleures machines l’accompagnent afin d’en révéler les meilleurs arômes. Une attention pour cette « cerise » qui se cultive loin de nos frontières et qui n’a de cesse de nous surprendre et de se révéler sous l’action de la main de l’homme.
Le café, tel le chat, a plusieurs vies. À l’origine on trouve la cerise de café, produite, récoltée puis séchée dans les pays producteurs. On distingue alors deux grandes familles, Arabica et Robusta. Tirant son nom de la péninsule arabique, l’Arabica représente aujourd’hui 65% de la production mondiale de café. Dorénavant, ce sont le Brésil, la Colombie, le Mexique, l’Éthiopie et le Guatemala qui sont les 5 plus grands pays producteurs d’Arabica. « Cultivé en altitude sur les hauts plateaux avec un climat doux, humide et ombragé, l’Arabica se distingue par sa finesse gustative et ses notes acidulées »,
présentent Les Torréfacteurs normands, entreprise rouennaise de torréfaction artisanale. Le Robusta quant à lui représente 35% de la production. Si sa saveur est moins délicate que l’Arabica, le Robusta est plus relevé, plus amer et plus corsé. Surtout cultivé en Afrique de l’Ouest et en Asie du Sud-Est, il pousse généralement en plaine
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